La technologie blockchain trouve de très nombreuses applications en propriété intellectuelle, même si elle ne va pas remplacer les systèmes juridiques déjà en place. Elle offre cependant des possibilités intéressantes notamment pour les créateurs dont la protection se base uniquement sur le droit d’auteur ou sur les secrets d’affaire, et qui sont souvent considérés comme les moins bien loti des systèmes de propriété intellectuelle existants.
Horodatage de documents (timestamping), smart contracts, NDAs renforcés, registres collaboratifs, contrats de licence à l’exécution automatisée, pool de propriété intellectuelle: les champs d’application sont nombreux. Christophe Saam a donné une présentation sur ce sujet à l’Université de Lausanne, à l’invitation du Professeur Philippe Gilliéron.